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On se retrouve dans La liste de mes jointures comme dans une maison à l’étroit : la sonnette brisée, les vêtements trop petits, les mains qui peinent à redresser les murs. Au fil du quotidien et des obsessions, Évelyne Ménard nous convie dans « un corps qui connaît tous les miroirs ». De l’enfance à l’âge adulte, les poèmes recensent les insultes reçues, bruits parasitaires qui restent tels des acouphènes. Chaque pièce de l’appartement est liée à une partie de l’anatomie, meublée par la faim, le regard des autres, la filiation. Deux jumelles portent autrement leur visage : la première calcule ses portions et les heures, lutte contre la peur de mourir, alors que la deuxième perd l’appétit jusqu’à l’épuisement et souhaite disparaître. Elles s’aiment « avec un pied dehors / prêtes à courir vers l’autre si elle bascule ».
Entre le bureau et la cuisine, la gorge et le dos, ce n’est peut-être pas aux sœurs de se sauver mutuellement, mais bien à chacune de trouver une lumière entre les fissures du plafond.