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En 1952, Jean Nohain donnait aux Éditions Julliard un livre alerte, savoureux, dans lequel il évoquait ses souvenirs et traçait le portrait de nombreux amis. C’était J’ai cinquante ans. Avec la Main chaude voici pour nous, ses lecteurs (et ses compagnons), d’heureuses retrouvailles. ILS sont là, ceux que l’auteur a croisés (et aimés), de Camille Flammarion à Claude Dauphin : Courteline, Marguerite Moreno, Francis Poulenc, Lucien et Sacha Guitry, Tristan Bernard, Françoise Rosay, Gabriel Fauré, Pauline Carton, Marcel Achard, Maurice Donnay, Marcel Pagnol, Joseph Kessel, Pierre Fresnay, Maurice Chevalier, Fernand Raynaud — et bien d’autres. Tous vivants, grâce à la mémoire d’un exceptionnel témoin, dont l’ironie est toujours indulgente, et l’œil clair. Louis Jouvet disait, dans Entrée des Artistes à ses élèves comédiens du Conservatoire : « Vous avez vingt ans et je ne les ai plus, puisque c’est vous qui les avez, et que tout le monde ne peut avoir vingt ans en même temps. » Jean Nohain a quatre fois vingt ans. Et il a la sagesse, le sourire, la sérénité à peine mélancolique d’un homme qui a traversé le siècle en journaliste et en comédien, en conférencier, en écrivain. Il donne aujourd’hui avec la Main chaude un album où vivent quelques hommes et quelques femmes hors du commun, peints avec beaucoup d’humour et d’amitié. Gilbert Sigaux