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La Mal-Aimée est le roman le plus populaire de Birmanie (Myanmar), le premier à être traduit en français. C'est l'histoire d'une jeune femme éblouie par le raffinement de la vie coloniale, idéalisée par Kipling, chantre de l'Empire des Indes dont fit partie la Birmanie. Mais très attachée à sa birmanité, elle supporte mal que son mari, lui-même birman mais totalement acculturé, veuille faire d'elle une "lady" en la coupant de ses racines familiales. Elle meurt de cet amour exclusif alors même que s'achève la lutte pour l'indépendance menée par Aung San, le héros national (dont la fille, Aung San Suu Kyi, est Prix Nobel de la Paix 1991). Une fin qui surprend quand on sait que la femme birmane a toujours joui d'une autonomie étonnante de modernité pour un Occidental. Mais la colonisation est venue brouiller les cartes du jeu social birman, et c'est à ce douloureux problème de la perte d'identité culturelle chez un peuple fier, au nationalisme ombrageux, que Ma Ma Lay nous convie à réfléchir.