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Le reflux des « avant-gardes » a laissé le champ libre au retour des vieilles lunes. Le « culturel », l’« information », la pseudo-« communication » sont les trois armes new-look, à l’aide desquelles le Marché — érigé en absolu — parachève sa plus-que-centenaire stratégie de main-mise sur la pensée, la connaissance et l’art. Tout rentre dans l’Ordre : le romancier redevient cet insipide radoteur d’histoires trop vraisemblables pour être vraies, et le poète — cet improbable ravaudeur de mythes — cette Grande-Tête-Molle d’une autre époque, second couteau de son dernier commanditaire en date : le linguiste. À la recherche des causes et des responsables de cette incroyable régression, l’auteur ne les débusque pas seulement dans le camp de la réaction, mais dans la modernité elle-même, en quelque sorte acharnée à se saborder et, notamment, dans ses propres impasses théoriques (ainsi, la notion de Texte) et, partant, dans sa soumission à la loi totalitaire de la Structure : ambivalence de Roland Barthes... Commentant les récentes prises de position de plusieurs — comme celle de Finkielkraut — et l’œuvre ou l’esthétique d’auteurs contemporains - Robbe-Grillet, Ricardou, Sacré, Hauc... - ou de la modernité récente - Mallarmé, Rimbaud, Schwob, Jarry, Dada... - ou moins récente - Stendhal, Flaubert, - il tente de définir les conditions d’un art authentiquement émancipé et émancipateur, à travers la notion de formalisme lyrique, où se rencontrent, dans le champ esthétique, matérialisme et subjectivité critique ; revenant sur quelques aspects plus ou moins négligés de l’histoire des formes littéraires - le sonnet, la question du vers, l’« hypothèse de la satura », le rôle de la polémique, la notion de fin de siècle... — il s’attache à en reconnaître, ici et là, l’émergence, à en préciser les contours et les conditions d’existence ou de pérennité.