Français triomphant,
occitan évanescent.
Le contraste entre les
deux développements
souligne que les langues
n'ont pas d'identité autonome,
mais qu'elles sont forgées par l'usage,
par les conditions de leur usage, en un
mot : par leur histoire.
Ce qu'il faut [...], c'est faire
face à la réalité complexe de ce qu'est
une langue, se plonger dans l'histoire
des pratiques langagières, scruter la
conscience des locuteurs historiques.