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Le 12 janvier 1996, après deux ans d’emprisonnement préventif, la justice rendait sa liberté à Jacques Médecin. Accusé d’abus de biens sociaux, montré du doigt, désigné à la vindicte publique par certains médias, l’ancien maire de Nice est l’exemple même de l’homme politique bouc émissaire dans les « affaires » dont seront jalonnées les années 90 en France. Aujourd’hui que se sont apaisées les passions, il témoigne. Sans haine mais aussi sans concession, il démonte le mécanisme qui a fait de lui un coupable idéal. Il accuse les pouvoirs politiques successifs, de droite comme de gauche, et l’Élysée d’avoir combiné une machination visant à le faire jeter en prison puis extrader d’Uruguay, où il avait choisi de s’exiler en 1990. Machination dont certains médias se sont fait le porte-voix, excitant l’opinion publique jusqu’à la curée. Des citoyens sans repères, des journalistes sans vergogne se sont érigés en justiciers : la République des juges n’est pas celle des magistrats mais celle de ceux qui condamnent les prévenus avant même qu’ils ne soient face à la justice.