Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Alain Duhamel part d'un constat : la France politique vit au rythme d'un souverain élu. En fait, l'essentiel du pouvoir y est détenu par lui ou issu de lui. Exemples et portraits à l'appui, cet essai démontre, avec beaucoup d'humour et de clarté, en quoi ce système ultra-présidentiel donne au chef de l'Etat plus d'influence réelle que dans n'importe quelle autre démocratie occidentale, les partis politiques ne faisant, en fin de compte, que conforter son pouvoir. Cette "spécialité française" s'appuie sur une classe dirigeante exceptionnellement homogène - les 5000 -, qui maintient une tradition colbertienne impérieuse et elle bénéficie, d'autre part, du sous-développement des contre-pouvoirs et de la faible participation des citoyens à la vie du pays. Cette société politique est donc infirme parce que inachevée et déséquilibrée. Elle se modernise aujourd'hui à doses homéopathiques. Tout se passe comme si, pour cela, elle acceptait de s'en remettre à une lignée de "despotes éclairés" : le premier, Charles de Gaulle, obsédé par le rang de la France, le second, Georges Pompidou, par la croissance de l'industrie, le troisième, Valéry Giscard d'Estaing, par l'intuition du modernisme.