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L’insurrection hongroise d’octobre 1956, continuant et amplifiant les révoltes précédentes de Berlin, de Poznan et d’ailleurs, a démontré l’existence d’un état de tension révolutionnaire, et même d’un état de « lutte des classes », à l’intérieur du monde collectiviste. L’espérance d’un monde, où chaque homme aura la part qui lui est due de bien-être et de dignité, se situe donc dès maintenant, pour les multitudes opprimées par le système collectiviste, non dans le marxisme, mais au delà de lui. La raison n’en est pas seulement dans les abus, ou dans la cruauté des régimes qui se réclament du marxisme. Elle est dans l’évolution même de l’histoire, ou plutôt dans la vraie « révolution » du XXe siècle qui a fait du marxisme, doctrine élaborée au XIXe siècle, une idéologie périmée. Thierry Maulnier montre comment cette « révolution » — technique, économique, sociale — nous oblige à dépasser en même temps l’économie capitaliste du profit, et l’économie collectiviste du travail, vers une économie des besoins, où le « salaire » cesse d’être rétribution du travail, pour devenir distribution du pouvoir de consommation.