À la rue Cases-Nègres, à Petit-Morne, bourg de Rivière
Salée, José et ses amis vivent dans l'insouciance tandis
que leurs parents, de pauvres gens, triment dans les
plantations de canne à sucre pour gagner leur vie.
C'est dans ce contexte que commence
La Rue Cases-Nègres, ce grand classique de la littérature antillaise. À
travers le récit de sa propre enfance, Joseph Zobel y
décrit la Martinique des années 1930, en peignant avec
la mémoire du coeur et des blessures, la vaillance, la
dureté et la tendresse des descendants d'esclaves,
acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et
plus généreux.