La famille est le siège privilégié de la solidarité. Néanmoins, certains parents et alliés font preuve d'égoïsme ou de parasitisme. Voilà pourquoi les autorités ont précisé les cas et les conditions dans lesquels les membres d'une famille sont obligés d'agir les uns envers les autres. Quelles sont ces circonstances obligatoires? Et tous les membres de la famille sont-ils tenus d'agir? A l'inverse, la solidarité familiale peut être condamnée par ces mêmes autorités. On craint le favoritisme et la préférence familiale dans les contrats et les actes de procédure. Quels liens de famille et quels actes ou contrats provoquent la condamnation?
La solidarité familiale implique pour chacun des avantages et des inconvénients. La loi excuse la personne qui, par solidarité, aide son enfant immigré clandestin, ou bien celle qui ne dénonce pas son parent auteur d'un crime. La même immunité familiale (impunité) se retrouve parfois en cas de vol, d'escroquerie, d'abus de confiance, etc. Mais en quelles circonstances les juges raisonnent-ils ainsi? L'auteur présente à la fois les bénéfices et les coûts de la solidarité familiale. Des exemples internationaux illustrent la primauté de la famille dans un monde en quête de repères et de ressources.
Cet ouvrage grand public, est indispensable aux praticiens de la famille et il est recommandé aux étudiants et aux chercheurs en sciences sociales.