La grande dépression que nous connaissons depuis cinq ans
n’est qu’un modeste épisode en comparaison du cataclysme qui s’annonce.
La France et l’Europe n’ont aucune maîtrise sur cette révolution.
L’Internet et ses services sont contrôlés par les Américains.
L’Internet siphonne nos emplois, nos données, nos vies privées, notre propriété
intellectuelle, notre prospérité, notre fiscalité, notre souveraineté.
Nous allons donc subir ce bouleversement qui mettra un terme
à notre modèle social et économique.
Y a-t-il pour nous une alternative ?
Oui.
L’ambition de ce travail est de nous en donner la chance. »