L'ennui, quand on mise sur la poésie à
l'ère de la crise, c'est qu'on risque vite de
se retrouver sans rien. Pour Matt, du jour
au lendemain criblé de dettes, chômeur et
plus ou moins cocu en prime, le compte
à rebours commence : il a huit jours pour
sauver sa barque des griffes des créanciers.
Heureusement, il reste une bonne nouvelle.
Le trafic de cannabis a toujours rapporté
gros par temps d'apocalypse...