La vie ne tient qu'à un fils
La pietà, c'est un petit peu de cette mère qui regarde son fils mort. C'est un petit peu de toute la condition humaine qui ressort de l'histoire de Catherine et de Guillaume. De cette femme qui souffre en douceur, étreignant un cadavre et défiant la mort d'un homme, son fils, car elle vient de perdre la propre chair de sa chair.
Comment ressusciter son souvenir ? Comment réaliser désormais ses rêves ? Le grand départ du Fils est aussi un nouveau départ pour la Mère : il rêvait d'Amérique du Sud, elle l'y emmènera. Parce qu'il faut aller au bout et que la vie ne tient parfois qu'à un fils.
A propos de Coream
Amélie Nothomb : « Texte magnifique, écriture superbe. Du Wilde avec du coeur. »
Mathieu Riboulet : « On croit toujours que tout a été dit sur le premier amour. C'est ce long chemin que refait, à rebours, Coream, et nous à sa suite. «Et si le premier amour était le dernier ? »