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Dans ce récit, rédigé au jour le jour dans une chambre de l’hôtel Continental à Saigon, Jean Lartéguy décrit les dernières heures d’une ville qu’il aimait, et qui portait le joli nom de Saigon, et la naissance d’une autre ville Ho Chi Minh, qui ne l’enchante guère. C’est, en même temps, l’adieu du soldat, du journaliste, de l’écrivain à ce pays qu’il a tant aimé, où il a connu d’extraordinaires aventures dont le souvenir vient le visiter pendant les longues nuits du couvre-feu. Il essaie en même temps de répondre à cette question : — Comment une des meilleures armées du sud-est asiatique a-t-elle pu s’effondrer en deux mois, pratiquement sans se battre ? — Qui était Thieu ? — Quel fut le rôle de la France ? Il révèle enfin pourquoi Saigon n’a pas brûlé, et comment se joua, un mercredi matin, son sort entre un vieux général recru de fatigue, et de jeunes officiers qui voulaient mourir. Interdit par Thieu, expulsé par les Communistes pour la même raison, sa liberté de propos, Jean Lartéguy nous donne plus qu’un reportage, un récit, celui de ses amours avec une ville qui a cessé de s’appeler Saigon.