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13 février 2006, 8 h 25, Sainte-Geneviève-des-Bois. Le long de la voie de chemin de fer, une automobiliste aperçoit un corps nu et prostré. Ilan Halimi est transporté alors qu’il agonise vers l’hôpital Cochin à Paris. Brûlé à 60%, poignardé à plusieurs reprises, il meurt dans les heures qui suivent. Quelques jours plus tard, Youssouf Fofana est interpellé en Côte d’Ivoire. Il reconnaît l’enlèvement, la séquestration, puis le meurtre d’Ilan Halimi. Il explique qu’il voulait de l’argent, qu’il a choisi sa victime parce qu’elle était juive. Il se dit le « cerveau » d’une bande de « barbares ». Avec des filles, les appâts ; des gros bras, les ravisseurs ; des « petits » aux ordres, les geôliers ; un gardien d’immeuble qui met à disposition l’appartement, puis la cave où Ilan passera plus de trois semaines les yeux bandés, les membres entravés. Une affaire qui a choqué la France entière : celle d’un jeune homme torturé dans une cité de Bagneux où d’ordinaire tout se sait. Ilan Halimi est mort étouffé par cette loi du silence, alors gage d’impunité pour Youssouf Fofana, alibi des consciences pour tous ceux qui lui ont obéi. Comment une trentaine de personnes ont-elles pu prendre part à un tel projet criminel ?