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« On contrôlait tout, raconte Henry Hill. On achetait les avocats, on graissait la patte aux flics, on arrosait tout le monde. Et on s’en payait une tranche. Tout ce qu’il y avait de mieux était pour nous. « Je pouvais parier trente ou quarante mille dollars en un week-end et, ensuite, claquer tous mes gains dans la semaine. Si je perdais, ça n’avait pas d’importance. Quand j’étais à sec, je n’avais qu’à aller faire quelques casses pour me renflouer. « Maintenant, c’est fini, tout ça. J’ai mangé mon pain blanc... » Mais à quel prix, ce pain blanc ! Fraude, vol, détournements, cambriolages comme celui, entré dans l’histoire, de la Lufthansa à Kennedy Airport, racket, loterie et paris illégaux, règlements de comptes, liquidations sommaires, il n’existait qu’une loi dans le monde de Henry Hill : celle de la corruption et de la violence. Tout enfant, il rêve en voyant défiler les Cadillac et les limousines des rois de la pègre devant sa pauvre maison du quartier de Brownsville, à New York. C’est ainsi qu’il rejoint le Milieu dès l’âge de onze ans, pour n’en sortir que vingt-cinq ans plus tard, en s’inscrivant au Programme fédéral de protection des témoins. Hill vient alors grossir un effectif de quelque quatre mille quatre cents criminels qui préfèrent témoigner contre leurs anciens complices et abandonner leur identité, plutôt que de répondre de leurs forfaits devant la justice. Hill n’a cependant rien d’un truand ordinaire : sicilien par sa mère mais irlandais par son père, il ne peut même pas prétendre à un grade dans le milieu très fermé de la Cosa Nostra. Pourtant, son acharnement et son formidable sens des affaires criminelles lui vaudront très vite de devenir le protégé d’un caïd et lui donneront accès à tous les échelons, à tous les secteurs d’activité du syndicat du crime. Contrairement aux autres « affranchis », cantonnés dans une ou deux spécialités, Henry Hill est un polyvalent. Il est également observateur et intelligent. Contrairement à beaucoup de truands qui entrent dans la carrière criminelle parce que, depuis toujours, ils étaient voués à ce destin, Hill, lui, a choisi. En connaissance de cause et en étant capable d’analyser avec lucidité les mécanismes du milieu dans lequel il avait, depuis toujours, voulu entrer. Grâce à sa conscience aiguisée, à son cynisme et à son immense talent pour le crime, Henry Hill nous sort du folklore de la Mafia telle qu’elle est montrée dans les romans. Et le livre de Nicholas Pileggi donne un coup de projecteur sans précédent sur le fonctionnement intime de l’Organisation du crime aux États-Unis.