Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ethnologue, Germaine Tillion a accompli, avant la guerre, cinq missions scientifiques dans l’Aurès, soit plus de quatre années de séjour complet entre 1934 et 1940. Elle s’est établie de nouveau dans la même région de décembre 1954 à mars 1955. C’est sur la demande de ses camarades de l’Association nationale des déportés et internés de la Résistance et pour leur revue “Voix et visages”, qu’elle a commencé cette étude, qui est aussi un témoignage. L’extraordinaire intérêt suscité aussitôt par ses articles l’a incité à accepter une publication en librairie qui vient à son heure. S’adressant à des Françaises patriotes et éprises de justice, Germaine Tillion leur pose la question : dans la situation inextricable où nous avons contribué à les mettre, avons-nous le droit d’abandonner les Algériens ?