La critique a comparé Jean-Pierre Otte à Genevoix, à Giono. Ce natif de l'Ardenne belge (établi dans le Lot), amoureux des mystères de la femme, de la terre et du vin, se penche ici sur son jardin, et plus spécialement sur les mœurs des êtres vivants qui l'habitent : fleurs et bestioles... dont la grande affaire est bien sûr l'amour.
Préface de Jacques Lacarrière : qui salue en Jean-Pierre Otte le plus inspiré des érotomanes.
«Le charme de ces récits tient à l'identification de l'écrivain à ses créatures... Jean-Pierre Otte se fait passiflore offerte aux oiseaux... se change en iris pour enduire de pollen l'abeille visiteuse... Est-ce bien raisonnable ? Peut-être pas, mais c'est sournoisement enivrant.»
Claude Roy / Le nouvel observateur
«Un enchantement.»
André Rollin / Le canard enchaîné
«Un merveilleux voyageur... Un grand styliste.»
Jérôme Garcin / L'express