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André Thérive écrivait un jour que l’on devrait inscrire au programme de nos lycées et facultés les œuvres de Georges Armand Masson. Ses recueils de pastiches, « Le parfait plagiaire », « À la façon de », « C’est pas beau de copier », fourniraient pour les cours de littérature des exemples de dissection du style. Dans ses « Chorceaux moisis », cette cocasse légende des siècles qui obtint l’an dernier le prix Alphonse Allais, décerné par une compagnie de gens d’esprit, les professeurs d’histoire puiseraient une documentation, sinon orthodoxe, du moins absolument inédite. Tour à tour cruel et tendre, docte ou malicieux, Georges Armand Masson a pastiché ici les vieilles encyclopédies en définissant à sa manière les mots qui composent le langage des amants. Dans ce dictionnaire de l’Amour, qui naît avec le printemps on trouvera toutes les règles, et toutes les ruses de ce jeu, le plus vieux du monde. Vingt-six artistes, autant que de lettres dans l’alphabet, choisis parmi les plus célèbres peintres de la Femme, commentent l’ouvrage de leur crayon.