Gregory Anderson revient en Angleterre à contrecoeur en 1817, après sept ans à sillonner les mers. À moitié polynésien, Gregory est tiraillé entre deux mondes.
Il ne cherche pas l’amour. Il ne cherche qu’un corps chaud et doué d’un minimum d’intelligence afin de l’aider à traverser les quelques mois qu’il passera en Angleterre.
Le mariage d’Alicia et Nat Digby, arrangé alors qu’ils souffraient encore de la bêtise de la jeunesse, avait bien failli tourner à la catastrophe avant même d’avoir vraiment commencé, les époux ayant chacun pris un amant. Ils se refusent à abandonner les jeux érotiques qu’ils ont appris à mener et à apprécier, mais ils ne risqueront pas leur union une nouvelle fois en tombant amoureux de quelqu’un d’autre.
Lorsque le trio se rencontre, ils pensent qu’il ne s’agit de rien de plus que deux ou trois nuits de plaisirs partagés et d’érotisme. Mais l’inconcevable survient, car l’amour refuse d’être contraint à l’exil.