Lorsqu’il a étranglé la fille, elle se trouvait juchée sur sa table, jupe retroussée, cuisses écartées. A-t-on idée de grimper sur sa table quand on est élève à l’institution de la Mère-Dieu ? Ici, c’est genoux serrés et bouche cousue (ça devrait l’être, c’était comme ça, avant).
Il s’en passe de drôles de choses dans l’enceinte de l’institution de la Mère- Dieu. Heureusement, l’ange gardien est là, qui veille sur tout le monde. Son grand oœuvre, tout compte fait, n’est peut-être pas de peindre des Christs...
Raymond Penblanc nous régale une fois de plus de sa prose affûtée, et nous offre en prime le sourire de L’Ange.