Henriette et Jean mènent une vie paisible. Jusqu'au jour où Georgette et Edmond, deux amis, leur confient Buster, chien aussi encombrant qu'affectueux, le temps des vacances. Le quotidien du couple s'en trouve bouleversé, leur sexualité également.
Il y a dans la langue de Léo Barthe, jusque dans les dialogues entre les personnages, quelque chose de parfait, une évidence, qui rend la situation irréelle, en même temps qu'authentique et " banale " ; et ce tour de magie permet tout – tous les tabous.