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« La justice est impartiale », disent les uns. « Justice de classe », répondent les autres. Qu’en est-il exactement ? La loi laisse en fait aux magistrats une certaine latitude pour la détermination de la peine. Mais comment cette liberté est-elle utilisée ? Peut-on évaluer la part du subjectif et de l’objectif dans la détermination des sentences ? Y a-t-il vraiment deux poids et deux mesures ? De l’observation attentive de plus de 400 procès correctionnels et de l’analyse des Comptes généraux de la justice ressort la partialité de la justice pénale : les jeunes, les étrangers et les prolétaires sont les plus lourdement et les plus fréquemment sanctionnés. Pourquoi ? Cette surpénalisation tient-elle à l’humeur des juges ou à la logique de la structure sociale elle-même ? Et pourtant une répression équitable est un idéal, non une utopie.