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On savait le néolibéralisme à bout de souffle. Le krach boursier d’octobre 1987 est venu marquer sa déroute. Les notions, combien ressassées, de « désengagement de l’État » et de « déréglementation », sont sérieusement mises en question. Nous entrons dans l’ère de l’après-libéralisme. À l’épreuve de cette nouvelle crise, où en sont les grands acteurs sociaux, patronat et classe ouvrière ? Comment se transforme l’intervention de l’État ? Quelles sont les conséquences de la restructuration de l’outil de production ? Comment se modifient les formes de prise de conscience et la combativité de la classe ouvrière ? Construit autour de ces questions, l’après-libéralisme, de Nicolas Benies, met en lumière l’escroquerie que représente la théorie libérale, une théorie qui non seulement n’explique rien mais cherche surtout à justifier les attaques contre les travailleurs, qu’ils soient salariés ou chômeurs.