Merci aux nuages,
sur eux l'écriture
a perdu prise.
Le désir de faire un nouveau livre en commun et celui de célébrer « l'art des nuages » ont coïncidé : il n'a pas fallu nous concerter davantage pour nous mettre à l'oeuvre, chacun de son côté.
Poèmes et peintures, le moment venu, se sont d'eux-mêmes associés. Nous n'avons pas été surpris d'apprendre que Monet, dans ses derniers jours, relisait encore Baudelaire, « les merveilleux nuages ».
P.D. et C.F-R