« L'aisance et la dignité de l'homme et du monde sont
contemporaines. La dignité de l'homme ne saurait être
sans la dignité du monde. Dans quel but, donc, dialoguer ?
Pour que le monde, ainsi que l'homme qui le regarde,
deviennent ce qu'ils devraient être pour jouir, peut-être
un jour, l'un et l'autre, de la plénitude souveraine dont
ils ont, le monde et l'homme, l'intuition obsédante, une
intention qui se résume par et dans la parole évidente,
paisible, presque nonchalante, mais terriblement définitive :
moi, je, ici. »