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Caporal aux Gardes françaises, général à vingt-cinq ans, Lazare Hoche mérite le titre de « pacificateur », qui l'inscrit parmi les rares figures incontestées de la Révolution. Sauvé de la guillotine par Thermidor, le jeune Hoche n'avait en effet cessé, dès sa prise de commandement dans l'Ouest insurgé, de montrer, non sans risques personnels, la voix de la sagesse au Directoire et aux Conseils, de leur préconiser la modération, cette politique de la main tendue qu'il allait pratiquer lui-même sur un terrain semé d'embûches. Dans les deux camps, d'ailleurs, on souhaitait depuis longtemps la fin des atrocités et de la lutte fratricide. Si l'auteur s'est étendu sur cette période douloureuse - mais si féconde - de la vie militaire de Hoche, c'est qu'il est en mesure de rétablir bien des faits et des motivations ignorés du public ou déformés, à partir de documents nouveaux ou volontairement inexploités. Contre l'esprit de parti, qui truque l'Histoire, le parti pris de l'auteur est justement de n'en pas avoir. Mais, en dehors de la campagne de l'Ouest, la carrière de Hoche est également marquée par ses succès foudroyants à Wissembourg, qui permirent de libérer Landau, place stratégique, et sur le Rhin, franchi à Neuwied. C'est la charge irrésistible de l'armée de Sambre-et-Meuse vers le Danube, sur les talons des Autrichiens en déroute. L'affaire du 18 Fructidor, aujourd'hui encore voilée de quelques ténèbres, entraîne – hélas - le bouillant général, si attaché aux vertus républicaines, dans une aventure politique où sa bonne foi et sa candeur vont se trouver trahies. À vingt-neuf ans, nommé général en chef de l'Armée d'Allemagne, Hoche meurt prématurément d'une maladie pulmonaire, au moment où apparaît au firmament l'étoile d'un autre jeune officier, Bonaparte, général en chef de l'Armée d'Italie. Quelle aurait été la suite des événements, si l'Histoire avait permis la cohabitation de ces deux brillants chefs militaires ?