Un grand roman populaire d’aventure qui nous raconte les origines de la mafia sicilienne au début du XVIIIe siècle. Un chef-d’œuvre.
Dans la lignée d’Alexandre Dumas et d’Eugène Sue, Luigi Natoli nous entraîne, de duels en passions, à la suite de Blasco, le bâtard courageux et plein de panache, dans une Palerme populaire écrasée par la noblesse féodale.
« Amateurs d'épopées romantiques et de feuilletons romanesques dans la veine bondissante d'Alexandre Dumas, précipitez-vous sur cette somme d'aventures [...] avec ses intrigues de cour, ses révoltes, ses justiciers au grand cœur comme ce Blasco de Castiglione, tout droit sorti de la cuisse de D'Artagnan ou de Cyrano. Un chef-d'œuvre du genre et une lecture indispensable pour tous ceux que fascinent la culture sicilienne, ses traditions et ses mystères. » Le Point
« Après Les Fiancés de Manzoni, Les Princes de Francalanza de De Roberto, La Storia d’Elsa Morante et Le Nom de la rose d’Umberto Eco, voici, enfin traduit, avec Le Bâtard de Palerme, le cinquième monument historique de la littérature italienne contemporaine. » Le Monde
Luigi Natoli naît à Palerme le 14 avril 1857. Il reçoit à trois ans son baptême politique : il est incarcéré avec toute sa famille. À l’annonce de l’arrivée imminente de Garibaldi, sa mère avait fait endosser à tous la chemise rouge. Ils furent donc tous arrêtés, et leurs biens confisqués et brûlés. Historien, il publie une Histoire de la Sicile qui fait autorité, puis sous le pseudonyme de William Galt il connaît une gloire littéraire semblable à celle de Alexandre Dumas ou Michel Zévaco. L’histoire des Beati Paoli est désormais profondément ancrée dans l’imaginaire de la Sicile où, depuis sa parution en 1909, son prodigieux succès ne s’est jamais démenti et s’est étendu à toute l’Italie.