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Le bonheur de Barbezieux est devenu, au travers des années et des très nombreuses éditions, le livre le plus célèbre de Jacques Chardonne. L’auteur de Romanesques y raconte sa jeunesse dans une province française, le pays du cognac, qui vivait au rythme des vendanges et des lunes. « La vraie passion de ces gens, écrit-il, était pour leur travail, pour la vigne, pour ce cognac dont ils buvaient très peu mais qu’ils respiraient volontiers et qui demande pour s’accomplir sans artifices en sa lente maturation beaucoup de mérites de tout un peuple. L’amour pour les choses bien faites ou pour la bonne substance, et le discernement que cet amour implique, et la patience, le courage qu’il veut, c’était la seule religion du Français dans ma province, et pour moi c’est encore une philosophie. » Si ce livre a connu un tel succès et s’il nous touche encore si fort aujourd’hui, c’est qu’il nous parle, à nous les citadins de cette fin de XXe siècle, de nos racines paysannes ou provinciales, enfouies au plus profond de notre enfance ou de la mémoire de notre famille et que chacun recherche avec tant d’intensité aujourd’hui.