Je me trouvais, sans l'avoir prévu, sur les terres natales de Caspar David Friedrich. Je retrouvais les objets et les décors que jusqu'à présent j'avais attribués à l'imaginaire de l'artiste : la torsion des branches, la forme des rochers enchevêtrés...
J'ai compris que je me dotais d'une puissance imaginante sur ce lieu : je me mettais à regarder comme les peintres romantiques allemands, sans bien savoir qui ils étaient.
Me voilà entré, comme photographe, dans l'univers de ces peintres romantiques. Jacques Vilet