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Veine palpitant dans l’intime repli des campagnes. Chemin d’eau qu’ont déserté chalands et gabares. Ligne de vie creusée dans la paume calleuse de la Bretagne. Le canal de Nantes à Brest ondule d’un bout à l’autre de la presqu’île. Au début d’un très beau mois de mai, j’ai parcouru à pied ses trois cent soixante kilomètres. Pour rien, pour le plaisir, pour jouir de ce luxe inouï, de cette prodigalité fastueuse : marcher ; passer son temps à le perdre ; se coucher sur la rive quand le soleil est trop chaud, pour lire ou regarder le ciel. Le canal : fil conducteur d’une échappée solitaire, de cette narration vagabonde.