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On dit parfois qu'il est plus facile d'imaginer la fin du monde que celle du capitalisme. C'est à un véritable exercice d'imagination sur l'avenir très problématique du capitalisme que nous convient cinq des chercheurs les plus éminents de la sociologie historique, réunis autour d'I. Wallerstein, fécond héritier de Braudel et père de la théorie des " systèmes-mondes ". En échappant aux facilités du prophétisme, ils explorent ici une série de dimensions cruciales et de tendances " lourdes ". On a souvent dit qu'il était plus facile de penser la fin du monde que celle du capitalisme. Pourtant, ce système présente aujourd'hui des signes de rupture qui permettent d'en anticiper le déclin imminent, et ce en recourant non pas au prophétisme, mais beaucoup plus simplement aux sciences sociales. C'est ce que démontrent ici cinq des plus éminents chercheurs internationaux. Dans une langue qu'ils ont voulue accessible à tous, s'appuyant sur des idées fortes de Marx, Braudel ou Weber, ils explorent une série de tendances " lourdes " des sociétés contemporaines, telles que l'approfondissement des crises économiques et écologiques, le déclin probable des classes moyennes, les contradictions et désarticulations du système politique international ou encore les problèmes d'externalisation des coûts sociaux et environnementaux liés au fonctionnement du capitalisme mondial. Ils tirent également les enseignements historiques et sociologiques de la chute du bloc soviétique et des mutations actuelles de la Chine. Pour cette pléiade d'universitaires prestigieux, les limites internes et externes de l'expansion du " système monde " capitaliste sont sur le point d'être atteintes. Face à son déclin accéléré et multidimensionnel, il est urgent de penser sérieusement à ce qui peut et devrait lui succéder. L'ouvrage rappelle ainsi que les sciences sociales, lorsqu'elles explorent rigoureusement la réalité, peuvent également aider à imaginer un autre avenir.