Le cerveau humain est l'objet de droits et de non droits. Il interpelle les juristes depuis toujours.
La mémoire peut-elle s'enfermer dans un témoignage ? Une machine peut-elle remplacer la pensée d'un juge ? L'imagerie cérébrale peut-elle constituer un moyen de preuve ?
Autant de questions auxquelles le droit fait régulièrement face avec des principes élaborés par la loi et la jurisprudence.
Il en résulte un droit du cerveau au cas par cas et résultat d'une part d'inaccessibilité de la matière cérébrale.