Le cri d’alarme que lance ici Jean-Louis Gouraud n’est pas une simple récrimination contre l’idéologie qui sous-tend l’action, parfois violente, de ceux qui recommandent le non-emploi du cheval. C’est aussi, et surtout, un rappel de quelques vérités fondamentales qui construisent depuis des temps immémoriaux la relation de l'homme à l'animal.