Pour débusquer la part de fantastique
qui se cache dans la vie quotidienne,
André Dhôtel ne recourt à aucun sortilège,
si ce n'est ceux de la fatalité et du
hasard heureux. Avec lui, la quête du
Graal revêt l'apparence d'une énigme
policière, un banal faubourg devient un
lieu de mystères qui semble soudain
plus proche du rêve que de la réalité...
Le Ciel du faubourg illustre parfaitement
la singularité et le charme de Dhôtel, en
qui Mauriac reconnaissait «le créateur
le plus étrange de nos univers romanesques».