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Michel Bulteau a découvert les "longues moustaches" dans un article de Paul Morand : elles désignaient Henri de Régnier, Jean-Louis Vaudoyer, Edmond Jaloux, Émile Henriot. Ces "princes de Ligne désabusés" avaient une passion pour l’Italie et pour les bibelots. Ils connaissaient leur Venise par cœur, se retrouvaient au Florian, sous le portrait du Chinois, pour fumer des cigares, rêver de Stendhal et rendre un culte au passé vivant. Écrivains provisoirement oubliés, excentriques, à Paris, à Venise ou sur la Riviera, ces dandys n’avaient aucune illusion sur rien mais persistaient à croire en la beauté. Le Club des longues moustaches est à la fois un hymne à la mélancolie, le dialogue d’un jeune homme avec ses grands morts et une page inédite de l’histoire littéraire française.