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Le 29 octobre 1998, la Une du New York Times exhibait un livre absolument repoussant qui avait été vendu 2 000 000 $ chez Christie’s. C’était le livre de prières d’un prêtre médiéval, noirci par le feu, abîmé par l’eau et rongé par la moisissure. Mais sous les prières était enfoui le manuscrit unique de l’un des plus grands mathématiciens qui ait jamais existé : Archimède de Syracuse. Voici l’histoire du plus grand codex scientifique aujourd’hui en notre possession : le Palimpseste d’Archimède. Agé de plus de mille ans, ce codex a bravé toutes les tempêtes. Effacé, réécrit, malmené, puis laissé à l’abandon dans la bibliothèque d’un vieux monastère, il a navigué entre les croisades, les guerres sanguinaires et franchi les mers et les océans. Découvert en 1906, il fut brièvement étudié, puis oublié de nouveau pendant presque un siècle avant de réapparaître à la vente aux enchères de 1998. Ce n’est qu’aujourd’hui que, grâce à des techniques d’imagerie numériques avancées, les textes cachés furent enfin mis en lumière, révélant d’étonnantes découvertes qui ont bouleversé notre compréhension de l’histoire des sciences. Il apparaît qu’Archimède était en droit de crier « Eurêka ! » bien plus souvent que nous le pensions. Entre l’enquête et l’épopée, la romance et la science, l’histoire du Palimpseste est unique. Reviel Netz et William Noel, deux hommes dévoués à son étude depuis sa vente en 1998, nous racontent l’épopée de ce grand livre et les bouleversements scientifiques qu’il a provoqués.