Animal social, l'homme peut-il échapper au communautarisme
? Le principe de laïcité ne recrée-t-il pas
lui-même ses propres communautés : départements,
partis, et multiples solidarités gays, féministes,
antiracistes ?
Un chrétien peut-il admettre le communautarisme
familial, paroissial, professionnel ou ethnique sans
manquer à l'Évangile ?
L'auteur s'attache ici à définir puis à distinguer deux
types de communautarisme, l'un d'enfermement et de
dissolution des valeurs, l'autre de droit inné ou acquis
nécessaire au bien commun national.