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Dans la France de 1976, les secrets des rapports de complicité entre l’État et les grands groupes privés sont jalousement gardés. C’est pourquoi le pouvoir jugea intolérable que, dans le numéro du Monde du 9 mars 1976, Philippe Simonnot ait fourni la preuve écrite que les Pétroliers français s’apprêtaient - avec l’accord de deux ministres - à violer l’un des articles de la Constitution. « Le complot pétrolier » analyse d’abord la situation des sociétés pétrolières françaises, leurs relations ambiguës avec « Les sept sœurs » du cartel mondial et le réseau de connivences intéressées, dont elles ont su se doter au sein de certains organes de presse et chez divers partis politiques en mal de pots de vin. L’auteur décrit le coup de tonnerre de la publication du rapport de la commission parlementaire d’enquête présidée par Julien Schvartz. Il explique comment le pouvoir - et les défenseurs patentés des sociétés - ont systématiquement camouflé la portée de ce document, et enfin comment, franchissant un nouveau pas dans la mise à l’encan des intérêts de la collectivité nationale, deux ministres ont organisé, sans la nécessaire autorisation du Parlement, le transfert au secteur privé des actifs d’une société d’État. On trouvera dans cet ouvrage le texte complet de la fameuse « note Ramel », qui a déclenché le scandale. C’est le mécanisme d’une machination, où le président de la République s’est lui-même impliqué par ses propres déclarations que Philippe Simonnot démonte dans « Le complot pétrolier ». Philippe Simonnot a suivi - pour Le Monde - l’évolution de la situation pétrolière mondiale de ces dernières années et, en particulier, les rapports entre les sociétés, l’OPEP et les gouvernements européens.