
Abandonné en pleine guerre civile, Michel del Castillo est recueilli à 17 ans par une famille franquiste. Quarante ans plus tard, devenu écrivain en France, il revient sur les lieux de son enfance à l'occasion de la traduction d'un de ses romans.
Il comprend alors que le personnage principal de son livre, fasciste et phalangiste, n'est autre que le fantôme d'Antón, son père adoptif...
«J'aurais dû me méfier, pressentir que j'allais régler un dernier compte, mon propre compte évidemment.»
«Entre rage, haine, amour et désespoir, Michel del Castillo s'est dépouillé du "il" de la fiction pour se lancer dans un récit à la première personne, qui bouscule tout.»
Michèle Gazier, Télérama
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