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Une analyse se termine-t-elle ? La longueur des cures passe parfois pour le résultat des conceptions théoriques et de la pratique des analystes contemporains. Mais en allait-il autrement il y a quelques décennies ? Freud lui-même se plaignait, en 1937, de la difficulté qu'il y avait à écourter la durée des analyses. L'immense majorité des analyses s'interrompt, au mieux, sur un effet thérapeutique heureux, mais elles ne sont pas pour autant achevées. Son procès reste-t-il seulement suspendu dans des conditions plus ou moins précaires ? Peut-il s'interrompre à un moment d'équilibre, permettant à l'analysant d'en finir avec le lien étrange qui l'attache moins à l'analyste qu'à ce qu'il ignore dans sa propre parole ? Existe-t-il au contraire une fin logique, aussi certainement calculable que les conditions qui ont présidé à l'entrée dans la cure ? Si Freud a évoqué la question de la fin de l'analyse tout au long de son œuvre - avant tout dans les termes d'un objectif thérapeutique plus ou moins bien rempli - il ne l'abordera dans sa spécificité qu'au terme de sa vie. Tout en montrant la continuité qui existe de Freud à Lacan, G. Pommier tente de dégager ce qui, dans une analyse, peut logiquement se dénouer de ce qui restera indéfini. Faire la part entre le fini et l'infini est un enjeu d'importance, qui permet de délimiter ce que l'on peut attendre de l'invention freudienne.