« Dans un français très pur, moderne certes, mais irrigué en profondeur du passé de la langue, Frédéric Tison sait défendre sa jeune indépendance et l'originalité de sa pensée poétique. Les mythes antiques, tout autant que le trobar, ou encore le souci mallarméen du « Livre » et les hantises de l'inactuel et de l'inachèvement brossent l'arrière-fond, le décor mental d'une création ambitieuse et très évolutive. » (Paul Farellier)