Tu me désires immaculée
[...]
Tu me veux immaculée
(Que Dieu te le pardonne)
Tu me veux chaste
(Que Dieu te le pardonne)
Tu me veux comme l'aube !
[...]
Et quand tes chairs
Seront revenues normales,
Et quand tu auras posé
Sur elles ton âme
Qui, dans les alcôves
S'est retrouvée enchevêtrée,
Alors, bonhomme,
Tu pourras exiger que je sois immaculée,
Tu pourras exiger que je sois comme la neige,
Tu pourras exiger que je sois chaste.