« Il savait depuis sa naissance qu'il ne devait pas être riche. Cela est-il nécessaire pour vivre et mourir ? »
Un village ; de montagne, Kabylie, début du siècle. C'est là que vivent les Menrad. Ils ne se rendent pas compte qu'ils sont pauvres. Ils sont comme les autres ; voilà tout. Mouloud Feraoun raconte, à peine transposée, sa propre histoire. Il était voué à devenir berger, le destin en décidera autrement. Ce témoignage d'un admirable conteur, souvent comparé à Jack London et à Maxime Gorki est désormais un classique.