Le Horla se présente sous la forme d'un journal inachevé qui laisse craindre que son propriétaire
n'ait sombré dans la folie.
Le narrateur sent la présence d'un être invisible autour de lui qu'il surnomme le «Horla». Tout au
long de la nouvelle, le doute s'installe quant à la folie du personnage principal, ou plutôt de son
aliénation, en référence à l'emprise du Horla.
Un suspense haletant, un style brillant qui font du Horla un grand classique de la littérature.