Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« Le temps fuit, irréparable. Parfois, modestement, on passe du singulier au pluriel. Le commencement des temps, la fin des temps. Un jour, une heure, une minute, une seconde, un millième de seconde, le temps s'arrête. Le temps ne peut être immobile. Il n'est plus de temps. C'est l'achronie. »Le 24 mai 2006, un vendredi, à onze heures vingt-sept minutes, trente-quatre secondes, le temps s'arrête..." Ainsi débute cette fable scientifique imaginée par Jean Bernard, à mi-chemin entre la science fiction et le conte philosophique. Le temps s'arrête, mais voilà que tout et tous ne sont pas égaux devant cette brutale achronie, et les destins les plus divers vont se croiser. Scientifiques et poètes, vivants ou fantômes de notre histoire, dont la pensée ne s'est heureusement pas immobilisée, vont se pencher sur ce phénomène inédit. Cette histoire illustre les méditations d'un grand savant - doublé d'un homme de culture - face à la vanité de l'homme, qui n'est qu'une créature de l'univers et non son créateur.