Malgré les multiples réflexions et actions sur les questions relatives aux
droits de la famille et aux droits de la femme, on constate que ces questions
sont toujours d'actualité. La situation est d'autant plus malheureuse que les
solutions sont évidentes, et que l'égoïsme des uns et des autres a toujours
pris le pas sur l'intérêt social. Il apparaît incontestablement que le mariage
constitue le principal élément de violation des droits de la famille et de la
femme, violation qui réside dans des textes confus et discriminatoires. Nous
nous sommes proposés, pour notre réflexion, de remédier à ces insuffisances.
Quelques éléments de solution ont été présentés. S'ils trouvent un écho
favorable auprès des uns et des autres, ils nous permettront certainement
d'avancer de quelques pas.