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Les conflits d'aménagement et de nature sont-ils le vecteur d'une recomposition du lien politique, ce lien social caractéristique de l'Etat-nation? Cinq conflits d'aménagement, tous situés en Camargue et dans les années 1990, donnent à voir l'action publique comme espace de rencontre entre l'État et des communautés de citoyens. L'auteur analyse et confronte plusieurs dynamiques: celle des associations (prendre la parole), celle des procédures de concertation (donner la parole). Leur confrontation et leur dialogue font se croiser le local, le particulier d'un côté, le général et le global d'un autre côté, dans une troisième dynamique (construire l'acceptable). L'environnementalisme - cette implication explicite d'êtres non-humains dans les affaires humaines - met ainsi à l'épreuve la relation de la communauté des citoyens et son gardien, l'État. Au-delà de l'opposition entre localisme et globalisme, dans leur opposition même, émerge la figure du citoyen localisé, tandis que l'État se profile comme protecteur de la diversité nationale. Cette citoyenneté localisée court toutefois deux risques: celui du particularisme normalisé et la tentation xénophobe.