Trois courts textes taoïstes, dont les deux derniers font partie de la liturgie du matin de la plus grande école du taoïsme, celle de la Perfection totale, sont des écrits anonymes attribués pour deux d’entre eux à l’ancêtre du taoïsme, Laozi, et pour le troisième à la plus haute divinité du panthéon taoïste, L’éminent Auguste de jade. Ils sont traduits pour la première fois du chinois en français.