Personne ne m'empêchera de dire et d'écrire que ce qui se passe au Proche-Orient n'est pas admissible. Et que je ne peux, ni ne veux, accepter cette inacceptable violence qui ne mène à rien, strictement à rien. Sinon à engendrer ce que nous déplorons tous : morts de chaque côté, pleurs de chaque côté, haines, affliction, désespérance, attentats, ripostes. Je sais, on appelle cela la guerre. Et après ?